Le graffiti, où l’art de déconstruire la citée pour la reconstruire visuellement. L’histoire de cette forme d’expression visuelle mélange à la fois communication politique, art, délimitation de territoire, expression libre, expression citoyenne, réappropriation de la citée.
Bien que le graffiti (et aussi collage, sticker, …) sort de plus en plus de son ghetto « underground » pour s’afficher dans de prestigieuses galeries, cet art reste marginalisé, exercé de façon « sauvage ». Dns le monde entier, le graffiti reste considéré comme du vandalisme, lorsqu’il touche un bien de façon non sollicité.
Attiré par les diverses formes que prend cette culture, par les lieux souvent insolites dans lesquels elle s’exerce parfois, par les coloris qu’elle déploie, j’ai eu envie d’aller revisiter l’espace urbain qui m’entoure en m’intéressent tout particulière à ces fameux graffs.
Ci-dessous, un set de photos réalisé sur Rennes dans 3 lieux (L’Elaboratoir, Cleunay, Colombier) un dimanche nuageux de janvier 2010.
Quelques lectures complémentaires autour du graff :
- Graffiti et Muralisme universitaire au FSA
- Le graffiti, le post-graff et après ?
- GRL
- Né dans la rue – Graffiti | Doit-on craindre ou encourager la muséification du hip-hop ?
- Graffiti et déconstruction/reconstruction de l’espace urbain
Merci à Florian de m’avoir servi de guide.
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